Entrevue avec Marc Fitt
Qu’est-ce qu’est le phénomène Marc Fitt? Marc-André Bénard nous partage son histoire de succès.
Qu’est-ce que Marc Fitt?
Entrevue intégrale:
Entrevue transcrite:
Marc : Bonjour à tous, Marc-André Bénard ici, vous me connaissez probablement sous le nom de Marc Fitt. Le gars qui « flex » et qui est « shirtless » sur Facebook. Il y en a beaucoup quand ils me voient pour la première fois c’est ça qu’ils se disent : « C’est juste quelqu’un qui peut-être s’aime un peu trop ou vraiment un peu plus matérialiste ». Mon message en arrière de ça c’est tout par rapport à la motivation et un esprit sain dans un corps sain et c’est comme cela que j’ai commencé à bâtir ma business il y a cinq ans. Au début ça l’a juste commencé comme étant une passion pour mon entrainement et je voulais simplement montrer mes trucs, puis c’est ce que c’est aujourd’hui ! Ça l’a vraiment évolué depuis, je suis vraiment fier de ce que l’on a accompli mon équipe et moi. Au début, c’était moi tout seul dans le sous-sol chez mon père avec mon vieil ordinateur et j’avais juste 300$ dans mon compte de banque. La seule façon que je pouvais générer de l’argent au début c’est d’être plus créatif, mais aussi d’être patient
Opp : Qu’est-ce que Marc Fitt (l’entreprise et le modèle d’affaires)
Marc : Aujourd’hui Marc Fitt c’est 5 millions de « suscribers » sur Facebook, c’est plus de 40 millions de vues sur YouTube, des milliers d’abonnés sur mon site internet, j’ai coaché je ne sais pas combien de personnes via internet. C’est dur à quantifier parce que je ne suis pas quelqu’un qui parle nécessairement des chiffres ou peu importe l’ampleur, je ne suis pas quelqu’un aussi qui va dire : « Ah, j’ai 5 millions de followers sur Facebook ! » C’est plus de pouvoir partager le plus possible mon message que j’ai à partager puis c’est que tout est possible et c’est ce que j’essaie de montrer avec mon quotidien. C’est que j’ai commencé avec littéralement rien et j’ai juste étudié à l’école, puis j’ai bâti ma business comme je l’ai mentionné au départ avec 300$. J’ai commencé en imprimant des chandails « Beyond yourself », après ça, j’ai vendu mon premier plan d’entrainement c’était un de mes « training » à 5$ et je ne savais même pas si j’allais en vendre sur internet parce que je ne connaissais pas ça ! J’ai créé un site un peu bizarre, vraiment pas beau et j’ai mis un bouton « PayPal » à vendre 5$ puis je l’envoyais manuellement au monde. C’est comme ça que ça l’a commencé, après ça je me suis rendu compte qu’il y avait une opportunité. Étant au Québec et en voyant ce qui se passait aussi dans le monde, je me suis rendu compte qu’il y avait déjà du monde qui faisait ce que je faisais, mais même encore là c’était le début du fitness comme vous le connaissez aujourd’hui. Dans le temps que je parle présentement c’était en 2011 et puis, quand tu prenais une selfie de toi dans le miroir tu étais un « douchebag », mais aujourd’hui, je ne sais pas qu’est-ce que tout le monde fait… Ça l’air que ce n’est plus « douchebag » ! Donc, c’est comme cela que j’ai commencé et ça l’a vraiment évolué puis après ça, avec la visibilité j’ai bâti d’autres compagnies.
Opp : Te considères-tu comme un entrepreneur en série ?
Marc : Oui, on peut dire que je suis un entrepreneur en série si l’on veut. C’est même rare que j’utilise le terme entrepreneur, c’est plus que j’aime créer quelque chose que le monde peut utiliser et que non seulement que ce soit utile, mais que le monde adore ! Ensuite que je les vois le porter, soit le faire, soit un nouveau « training », soit peu importe et de voir l’expérience qu’ils ont quand ils consomment le produit.
Opp : Si tu avais à te décrire en tant qu’entrepreneur…
Marc : Je me décrirais comme un entrepreneur comme étant un « underdog » dans le sens que peu importe c’est quoi la tâche ou le but que je vais me mettre en place je vais aller l’atteindre, peu importe, c’est quoi. Quelqu’un pourrait me fermer la porte et me mettre dans une chambre de 5’’ par 5’’ avec un ordinateur, je vais créer peu importe c’est quoi. Même je pensais faire une série vidéo, pas présentement parce que je suis trop occupé. De prendre un challenge, de juste avoir un chèque de 100$ puis de commencer une business avec ce 100$ et voir jusqu’à quel point je suis capable de l’amener parce que je crois que les opportunités sont là dès que tu as un téléphone et que tu as internet tu peux apprendre n’importe quoi. Il y a des « podcasts », des « audio books » … Les opportunités sont là ! Tu peux te filmer maintenant ! Ma première caméra que j’ai eue c’était un Kodak rectangulaire pis ça ne filmait pas ben là! C’était 350$, présentement tu peux acheter une caméra à 100$ et ça va faire du 1080. Puis, tu peux commencer à juste te filmer toi-même, à « vlogger » sur YouTube et à faire de l’argent avec ça. Je me qualifierais plus comme un « underdog » parce que tout est possible et je sais maintenant comment le faire, mais aussi je sais que les opportunités sont là peu importe c’est quoi l’industrie. Ça pourrait être même, je ne vais peut-être pas dire ça parce que sinon je vais être obligé de le faire… Mettons dans l’industrie du tricot, je suis sûr que je serais capable d’en vendre des affaires de tricots et de « build » une business qui va être le fun pour le monde qui font du tricot. Ils aimeraient ça faire partie de cette communauté-là ! À la base ce que j’ai appris avec toutes ces années-là c’est que l’être humain veut faire partie d’une communauté et il veut faire partie de quelque chose qui est « meaningful », qui a un but, qui a une ressemblance à ce qu’ils veulent atteindre dans la vie et puis, quand on est capable de bâtir une communauté comme ça simple et véridique, pas juste de dire : « Ah, je te vends ça ! » puis finalement dans le « backend» tu te fais « fuck over ». Le monde est prêt à faire partie de l’équipe, de joindre le mouvement et à apprécier le processus aussi. En ayant l’optique de ça et en sachant ça puis que tu restes vrai à ta personne je pense que tu peux créer pas mal n’importe quoi peu importe c’est quoi ta passion.
Opp : Quel est ton meilleur coup en affaires ?
Marc : Le meilleur coup que j’ai eu je pense que c’était de croire en moi dans le sens où c’est que, quand j’étais à l’école j’ai étudié pour être policier et il y avait la pension. J’avais commencé « on the side » je m’étais créé un blogue sur Word Press ça ne me coûtait même pas 100$ par année pour « hoster » mon site internet. Je pouvais donc faire mes articles par rapport au fitness, à ce que je mangeais et comment je m’entraînais. J’avais donc ce projet-là qui était juste une passion, je ne pensais jamais faire de l’argent avec ça ! Je ne savais même pas que tu pouvais faire de l’argent sur internet, vraiment. Je pensais que c’était des rumeurs le monde qui faisaient de l’argent sur internet. J’avais ça d’un côté, j’avais l’école et un moment donné il y a eu un point de rencontre où je me suis rendu compte que sur mon site internet j’avais plus que 1 million de « hits » par mois. Il y avait donc vraiment beaucoup de monde qui allait sur mon site dont je ne savais même pas. Je me suis installé un petit « plug in » sur mon site Wordpress.com et ça m’a dit qu’il y avait 1 million de « hits » sur mon site. Je me suis dit que c’était vraiment beaucoup de monde ça ! Il y avait vraiment beaucoup de commentaires et je me suis rendu compte que le monde aimait vraiment ce que je partageais, je ne le partageais pas pour faire de l’argent, mais juste par passion et pour montrer ce que je faisais; comment j’avais été capable d’atteindre mes abdominaux. Comme je l’ai mentionné au départ, il y a eu un point où j’ai commencé à vendre mon petit plan à 5$ que j’envoyais par courriel. Je me suis rendu compte qu’au lieu d’avoir mon emploi à temps partiel – 20 heures semaine – je pouvais juste faire ça vendre mon programme et pouvoir payer mes livres d’école, mon essence, mon téléphone cellulaire. Je me suis dit : « Crime! Pourquoi je travaillerais 20 heures quand je peux juste être sur internet et faire ce que j’aime en plus que le monde aime ça aussi ! » J’avais de bons « feedback » de transformations et je suis arrivé à un point où je me suis demandé si je lâchais mon emploi de 20 heures semaines où c’est stable ou j’essaie un peu l’affaire sur internet. J’ai gardé ça de même pendant un bout et éventuellement j’ai parti mon « online store » où j’y ai vendu toutes sortes de programmes ainsi que d’autres produits. Ensuite, il y a eu le point où je me suis demandé si je continuais à aller à l’école en technique policière ou si je me lançais et j’essaie d’aller dans le fitness. J’ai annoncé l’idée à mon père et il n’était pas très fébrile à l’idée. Les jeunes entrepreneurs vous allez voir vos parents ils vont vous parler d’aller à l’école pour une « job safe » et tu étudies pour ça. Mon père m’a dit : « Ben-là, le fitness… Te filmer, t’entraîner… je ne pense pas qu’il y a de l’argent à faire avec ça. Ce n’est pas vraiment stable, s’il t’arrive de quoi… » J’ai écouté mon meilleur chum avec qui j’étais à l’école et il m’a demandé j’avais quoi à perdre ! J’avais 20 – 21 ans et il m’a dit : « Au pire, tu prends une année sabbatique et tu l’essaies pendant un an vraiment intense ! » Je me suis alors dit que son idée n’était pas folle et il y a plein de monde au cégep qui prenaient des années sabbatiques parce qu’ils ne savent pas trop dans quoi ils s’en vont. Je me suis dit que j’allais essayer le programme qui s’appelle La Vie et je vais me lancer avec la passion puis en bout de ligne si ça ne fonctionne pas je finis mes deux cours qui me restaient l’année suivante pour être policier un an plus tard. Je pense que le plus gros succès que j’ai eu ç’a été juste de me lancer. Je sais qu’un moment donné vous allez avoir peur, vous allez vous dire que ça peut fonctionner, mais dans le fond quand vous vous posez la question c’est quoi la pire chose qui peut m’arriver si ça ne fonctionne pas; ce n’est jamais vraiment pire ! Tu ne vas pas mourir à essayer, c’est sûr que plus que tu vieillis plus que tu attends… tu es rendu avec des enfants, plus de responsabilités, ça commence à être plus dure. Même à notre âge, quand on est plus jeune, là je parle aux jeunes entrepreneurs, c’est sûr que ta décision elle devrait être plus facile à prendre et à se lancer. Ce n’est pas juste de se lancer les yeux vides et de se dire qu’on a une idée puis je me lance juste de même… mon but c’est de faire « full » d’argent. Si vous ne le faites pas avec passion ça ne fonctionnera probablement pas parce que non seulement vous allez avoir des journées de merde, il y a des affaires qui vont arriver puis si vous n’aimez pas ce que vous faites-vous allez abandonner! Ça, c’est sûr à 100%, mais si vous aimez vraiment ça vous allez trouver une façon de régler le problème parce qu’être entrepreneur c’est juste ça vous faites toute la journée c’est régler un problème et l’amener d’une autre façon. Il faut voir au-delà du problème, c’est de voir comment on peut arranger une certaine situation pour le client ou pour le site internet ou peu importe ce que vous allez faire. C’est tout le temps de « dealer » avec des problèmes et plus l’entreprise est grosse plus il y a des problèmes. Plus que vous avez d’employés plus c’est compliqué, mais quand vous aimez ce que vous faites la petite récompense de voir le monde consommer ce que vous créez et aussi de voir l’esprit d’équipe que vous pouvez bâtir. C’est aussi de voir que vous avez bâti tout ça de votre imagination juste parce que vous avez décidé de le faire. Ça, je pense que c’est quelque chose de magique et c’est quelque chose qui donne le feu aux entrepreneurs – le petit « feeling » de se dire qu’on a fait de quoi de bon et ça, c’est super. Juste ce petit « feeling » -là, ce petit élan-là d’adrénaline que moi il me faut pour continuer à me battre dans la tempête même s’il n’y a rien qui marche. Je vais simplement continuer à pousser, pousser, pousser et à un moment donné ça fonctionne, juste ce petit élan d’adrénaline là c’est magique.
Opp : Parle-nous de ton choix de carrière…
Marc : Au début, en plus, j’ai fait sciences nature, j’étais quand même bon au secondaire, mais au primaire j’étais vraiment nul et j’ai eu un professeur qui a changé ma vie. Je ne sais pas s’il va regarder ce vidéo-là ou je vais peut-être lui envoyer à Hassan Msellek, je crois qu’il était Marocain, 6’7 vraiment grand et imposant. Ce monsieur-là quand je suis arrivé en secondaire 1, j’étais plus du genre je vais jouer dehors… je m’en fou de l’école… je ne fais pas mes devoirs. Juste son ton de voix et la passion qu’il avait pour montrer les mathématiques… et les mathématiques on s’entend ce n’est pas ben ben le fun! J’ai appris à aimer les mathématiques et à ce moment-là, lui il nous montrait à suivre la méthode. Je dis la méthode parce que c’était le terme qu’il utilisait. Il disait : « Vous suivez la méthode, même si vous connaissez un raccourci pour aller plus vite pour résoudre le problème, vous ne prenez jamais ce raccourci vous ne faites que suivre la méthode, étape par étape et à la fin vous allez avoir le bon résultat à 100% garanti ! » Toutes les fois, il fallait et c’était long… il fallait que ce soit propre sur la feuille. Il fallait que l’on suive la méthode et ça prenait douze étapes pour peu importe si c’était de l’algèbre ou quoi que ce soit puis… on suivait cela et j’ai eu ce professeur-là 4 ans sur 5 au secondaire et il a complètement changé ma vie ! Je suis devenu plus studieux et dans tout ce que je faisais, peu importe si ce n’est pas dans les maths, j’essayais de trouver c’était quoi la méthode en arrière de cela et de la suivre. J’essayais vraiment d’être méthodique dans tout ce que je faisais puis ça m’a apporté beaucoup de succès à l’école… académiquement. Lorsque je suis entré au cégep en science nature en pensant que je voulais être médecin parce que c’est la meilleure « job » au monde. Je ne dis pas ça pour les rabaisser. C’est plus dans le sens que je me suis fait plus pousser à vouloir devenir médecin que moi vraiment vouloir être médecin. Je suis allé en science nature, j’ai fait deux ans et je n’ai pas fini mon dernier cours de physique… j’ai senti que ce n’était pas pour moi. Ça ne bougeait pas assez, c’est sûr qu’être médecin aux urgences… ça doit brasser pas mal, mais je voyais totalement que ce n’était pas pour moi. Je me suis dit que je voulais devenir policier. Je suis donc aller en technique policière à Ahuntsic et j’ai commencé le programme que j’ai fait deux ans. La dernière année, je l’ai prise sabbatique après ça je suis revenu. J’ai fini mes cours même quand ma business était lancée et que ça allait super bien. Je suis retourné parce qu’ils me restaient juste deux cours, je devais finir ce que j’avais commencé… je vais faire ça au moins et je vais avoir mon diplôme de TP. Tout cela pour dire que des fois il y a des moments dans ta vie même si on se dit l’école ça ne sert à rien… des fois j’ai envie de dire au monde : « Tu n’as pas besoin d’aller à l’école parce que tout ce que j’ai bâti : je n’ai pas été en business, j’ai rien appris par rapport à ça… j’étais en science et en technique policière. Ça l’a aucunement rapport avec ce que je fais maintenant en ligne ou sur les réseaux sociaux ! » À l’école tu développes des relations avec le monde, tu apprends à être humain, tu apprends à gérer plein d’affaires, tu vas faire le party en masse… Tu vois toutes sortes de choses. Je pense que c’est une bonne chose d’être une bande de jeunes ensembles et de faire des erreurs, d’aller dans des partys… des affaires qui tournent mal, des batailles, n’importe quoi, mais tu apprends plein de choses et tu vois ce que tu veux ce que tu ne veux pas. Je pense que c’est ça qui est bon de l’école maintenant qu’est-ce qui peuvent t’apprendre dans les cours… on pourrait réviser comment c’est fait. Cela dit, je pense que ce professeur-là a changé ma vie, ma perception de l’école et comment je travaille aujourd’hui… il m’a montré la méthode!
Opp : Quel est ton pire coup? As-tu vécu une erreur de parcours?
Marc : Ça aurait été de m’enregistrer plus vite, je n’en trouve pas de pire coup… Dans le sens qu’il faut que tu le vois d’une autre façon de dire ça c’était mon pire coup… après ça tu l’as tout le temps sur le cœur. Tu vas tout le temps traîner ça, tu vas tout le temps penser à ça. C’est juste des apprentissages. Moi une des affaires que j’ai apprises, je n’étais pas enregistré et je suis rentré en entreprise individuelle (au début tu peux rentrer comme ça jusqu’à tant que tu fasses 47 000$ par année) pis là, j’avais fait 97 000$ en 3 mois puis j’étais encore à l’école. Je me suis dit que j’allais sûrement payer des taxes là-dessus en trois mois. Il a fallu que je m’incorpore, ça, c’est une des affaires… pire « shot » … Il y a des fois où l’on commandait d’un fournisseur, on pensait que ça allait être beau. On paye « up front » et ça arrive comme de la merde… tu perds tout ton argent. Il y en a tellement et chaque jour il peut se passer de quoi. Tu fais des erreurs tous les jours et j’en ai tellement fait d’erreurs je m’en rappelle même plus. Tu te dis : « Bon regarde, c’est passé ! » De toute façon, ça sert à quoi de m’en rappeler tant que ça. Tu as appris de ça et tu ne le refais juste plus.
Opp : Un gars qui ne prend pas de décision n’en fait pas d’erreurs…!
Marc : Le plus vite que tu réagis, le mieux que c’est! Tu as une idée, tu l’implantes tout de suite. C’est pour cela que j’ai appris à faire de la photo, faire de la vidéo, faire du Photoshop, je « build » des sites internet, n’importe quoi… du marketing! Tu m’amènes n’importe quoi… je te le fais. Premièrement, parce qu’au début je n’avais pas d’argent pour payer du monde pour le faire et je me suis dit que si j’apprenais tout pour ensuite le délégué à quelqu’un je comprenais ce qu’il était en train de faire. J’allais savoir à peu près c’est quoi le temps que ça allait lui prendre pour le faire et je devais une ressource s’il avait des questions. Quand tu commences à travailler avec du monde et qu’ils voient à quel point tu aimes ça, ça leur ne dérange pas que des fois tu vas faire leur « job » avec eux pour les aider. Ils se disent alors que c’est agréable. C’est comme une équipe de hockey… si tu n’es pas prêt à te sacrifier pour l’équipe, eux ils n’iront pas te sacrifier pour toi! Des fois, il y a des affaires poches à faire, mais il faut que tu le fasses pareil.